Jour férié pour certains, jour de course pour d’autres. En ce jeudi de l’Ascension, ils sont 52 pilotes à converger vers le mythique circuit de Charade, au cœur du Puy-de-Dôme, pour la troisième année consécutive. Un rendez-vous devenu incontournable pour
La Ferdinand Cup poursuit sa tournée européenne 2025 avec un programme ambitieux : revisiter les circuits emblématiques ayant accueilli – ou accueillant encore – les plus grandes heures du Championnat du Monde de Formule 1. Parmi eux, des tracés français
On n’y croyait plus ! Le soleil demeurait bien obstinément caché derrière d’épais nuages depuis ce début d’année. Il n’en fallait pas moins que les 29 pilotes engagés pour dissiper cette grisaille omniprésente. Vingt-neuf Gentlemen Drivers, venus des quatre coins
Nous avons une grande nouvelle pour 2025 ! À l’écoute de votre passion et avec l’envie d’enrichir notre compétition, nous sommes ravis de vous annoncer que dans le cadre de son développement, la Ferdinand Cup s’agrandit avec la création d’un
Ah, Spa ! Difficile d’être constructif pour un passionné d’automobile quand on débarque dans ce panthéon. Dans cette région où l’on vit au rythme de ces 6.947km d’asphalte coupant la forêt Wallonne. Une région où l’on sait accueillir ! Et
Parce qu’il ne faut jamais se faire un avis sur une première impression, nous devions revenir à l’anneau du Rhin cette année encore pour être certains que nous avions adoré ! Alors, après un mois d’août à faire du tourisme,
Lorsque l’on prononce « circuit en Allemagne », on pense de suite au Nürburgring. Mais il existe un tracé presque aussi mythique à l’histoire toute aussi méritante. Le Hockenheimring, bien sûr. Construit dans les années 30, ce géant de 8 kilomètres arpentait
Charade, le tant attendu ! Tant redouté et pourtant adulé. Le Nürburgring Français comme ils l’appellent. Il est l’un des sept circuits tricolores ayant pour l’heure accueilli un Grand Prix de Formule 1. Quatre pour être exact. Un tracé de 8
« Ouais…, mais elle n’est pas matching number… Et ce n’est pas une vraie… ». Il est assez drôle d’entendre cela la première fois qu’on dit que ce n’est effectivement pas une vraie, aussi parfaite puisse être l’illusion. Mais justement, n’est-ce pas là,
L’année 2024 aura été marquée d’un printemps des plus tumultueux. Si février et mars nous ont offerts de magnifiques 25°C à l’ombre, le mois d’avril ne nous aura pas laissé une minute de répit. Comme le dit l’adage « En avril,
Le Grand-Prix d’Amérique n’a qu’à bien se tenir ! Les chevaux qu’il fallait voir le week-end dernier étaient bel et bien les juments noires montées sur les capots des 38 échappées de Stuttgart qui se sont élancées sur le tracé de
Vous rappelez-vous ? Ce bracelet autour du poignet que l’on avait hâte d’enlever à la fin du week-end. Devoir se rappeler de la position de notre paddock. Ressortir tout le matériel que l’on s’était promis de ne pas laisser tout le
